Les news de Paris Secret

Jusqu'au 3 février, six barques de Terre-Neuvas sont exposées sur le parvis de l'Hôtel de Ville, en hommage à ces marins qui partaient pêcher la morue à Terre Neuve et qui ont secouru les Parisiens lors de la crue de 1910. Des membres de l'association malouine Mémoire et patrimoine des Terre-Neuvas font également partie du voyage, ils répondront aux questions des Parisiens sur le difficile métier de Terre-Neuvas.

Les Catacombes de Paris ont rouvert après 3 mois de travaux. Les visiteurs peuvent de nouveau parcourir le site étendu sur un parcours de 2,7 kilomètres. Véritable labyrinthe au cœur de Paris, les Catacombes rassemblent les restes de près de huit millions de Parisiens, transférés entre la fin du XVllle siècle et le milieu du XIXe siècle au fur et à mesure de la fermeture des cimetières.

Catacombes de Paris 1, avenue du Colonel-Henri-Rol-Tanguy (XIV e). Tél. : 01 43 22 47 63. Du mardi au dimanche de 10 heures à 17 heures Durée de la visite : 45 minutes

En 2009 Paris a accueilli 830 tournages, soit un nombre sensiblement équivalent à 2008 (année record avec 840 tournages) totalisant 3 318 jours de tournage et plus de 4 500 décors naturels. Dans un contexte économique difficile, l’année est marquée par un bon maintien de l’activité des tournages dans son ensemble malgré un fléchissement des tournages de longs métrages.

La Ville de Paris, sous l’impulsion de Bertrand Delanoë, maire de Paris et de son adjoint chargé de la culture Christophe Girard, continue à favoriser les tournages et la production cinématographique et audiovisuelle, qui sont sources d’emplois et de retombées économiques pour Paris et participent à son rayonnement en France et à l’étranger, tout en étant attentif à préserver la qualité de vie des Parisiens.

Pour renforcer son action en 2010, la Ville de Paris souhaite augmenter, en concertation avec le CNC, le montant de l’aide financière par projet pour le soutien qu’elle apporte à la production de courts métrages et développer la diffusion de ces courts métrages en France comme à l’étranger.

Paris Film au sein de la Mission Cinéma continue de développer une communication accrue à destination des professionnels. Le site Internet www.parisfilm.fr renseigne et aide les productions françaises et étrangères à préparer leurs tournages ou prises de vues dans la capitale avec un site régulièrement enrichi.

L’activité des tournages par secteurs en 2009 : 90 longs métrages, 124 fictions TV, 139 films publicitaires, 126 photos publicitaires, 136 courts métrages, 66 documentaires et 148 films d’école.

Soure et plus d'infos : Paris.fr

Hier, jeudi 7 janvier, la maquette au 1/10e de la future Philharmonie de Paris, dans le Parc de la Villette a été présentée au Maire de Paris, au Président de la République et au Président du Conseil Régional d’Ile de France. Cette future grande salle de concert de 2 400 places, qui est conçue par les Ateliers Jean Nouvel, sera un équipement culturel de premier plan, servie par une architecture innovante, tant en matière d’acoustique que de maîtrise des enjeux environnementaux. Elle doit ouvrir ses portes au public en 2012.

L’équipement se développera sur une superficie d’environ 20 000 m² utiles. Il comprendra, outre la grande salle de concert, ses foyers et ses espaces de répétition, un pôle éducatif, des espaces d’exposition, un restaurant, les infrastructures nécessaires à la logistique et aux équipements techniques et un parc de stationnement.

Véritable maison des orchestres, porteuse d’un projet pédagogique et culturel fort, la Philharmonie de Paris accueillera l’Orchestre de Paris en résidence permanente, ainsi que plusieurs formations musicales. L’Orchestre de Paris, l’un des plus grands et plus prestigieux orchestres internationaux, est composé de 119 musiciens permanents et est subventionné par la Ville de Paris et le Ministère de la Culture et de la Communication. Il propose un vaste répertoire qui s’étend des oeuvres symphoniques à l’opéra et à la création contemporaine (www.orchestredeparis.com).

Principalement consacrée à l’accueil de grandes formations symphoniques, la Philharmonie de Paris présentera aussi d’autres formes d’expression musicale, comme le jazz ou les musiques du monde.

A l’occasion de cette présentation, le maire de Paris Bertrand Delanoë a rappelé son engagement en faveur du projet et la part décisive prise par la Ville pour sa réalisation. La Ville de Paris finance en effet le projet à parité avec l’Etat, à hauteur respective de 45% du coût, la Région Ile-de-France finançant, pour sa part, 10%. Aujourd’hui, des discussions financières sont en cours avec les entreprises candidates pour la construction du projet, qui a pour ambition de replacer Paris et sa métropole sur le devant de la scène musicale classique internationale.

Film de présentation du projet d'Ateliers Jean Nouvel, équipe choisie à l'issue du concours international de maîtrise d'oeuvre de la Philharmonie de Paris.

Source : Paris.fr

Paris compte 13 619 nouveaux habitants. Publiés cette semaine au Journal officiel, les chiffres de l'INSEE annoncent exactement 2 215 197 habitants. Pour la première fois, les étudiants majeurs sont rattachés à la capitale.

Le nombre de Parisiens a encore augmenté : 13 619 personnes de plus vivent dans la capitale depuis le 1er janvier 2009 .

En dix ans, l'augmentation est de près de 90 000 habitants. Aujourd'hui, la capitale compte officiellement 2 215 197 habitants.

Les chiffres ont été publiés le 2 janvier 2010 dans le Journal officiel. Ils proviennent du recensement de population effectué en 2007.

Source : Paris.fr

Savez-vous que le Grand Paris, pourtant à peine lancé, a déjà 150 ans ? En effet, la capitale, qui imagine actuellement de repousser ses frontières au-delà de la petite couronne, n’en est pas à son coup d’essai. Le 1 e r janvier 1860, elle a annexé toute une partie de sa « banlieue », passant ainsi de 3 370 à 7 802 hectares et augmentant sa population de 500 000 habitants. Car, à l’époque, Montmartre, les Batignolles, la Villette, Belleville, Grenelle… ne sont pas des quartiers parisiens, mais des villages, situés au-delà de l’enceinte, dite des Fermiers généraux, qui protège Paris. Quiconque la franchissait devait s’acquitter de l’octroi, un impôt sur les produits qui rentraient dans la ville.

Napoléon III veut rivaliser avec Londres

C’est Napoléon III qui décide de les absorber dans l’idée de faire une grande capitale capable de rivaliser avec Londres. D’autant que le baron Haussmann, le préfet de la Seine, a besoin d’espace pour ses grandes avenues. Il lorgne notamment sur des terrains appartenant à Passy et à Neuilly afin d’agrandir la place de l’Etoile et résorber les embouteillages causés par les voitures et les cavaliers se rendant au bois de Boulogne. Les territoires limitrophes n’ont guère leur mot à dire. Le ministre de l’Intérieur, Claude-Alphonse Delangle, leur rappelle que « la population installée dans (ce qui était alors appelé) la zone intermédiaire ne doit son existence et sa prospérité qu’à Paris ». Belleville, Grenelle, Vaugirard et la Villette sont totalement absorbées. Certaines communes sont partagées avec d’autres comme Auteuil et Passy fondues entre le XVI e et Boulogne, ou encore les Batignolles-Monceau entre le XVII e et Clichy ou Montmartre entre le XVIII e et Saint-Ouen. D’autres, enfin, sont partiellement annexées comme Aubervilliers, Gentilly, Saint-Ouen ou encore Issy… Les limites de Paris sont portées jusqu’à l’enceinte fortifiée de Thiers et le mur des Fermiers généraux est détruit. Ainsi agrandi, Paris procède à un redécoupage des arrondissements, eux-mêmes organisés en 80 quartiers. De douze arrondissements, on passe à vingt, selon une numérotation en spirale. Et c’est bien évidemment le palais des Tuileries où réside Napoléon III qui fut le point de départ, bénéficiant du I e r . Dès le 1 e r janvier 1869, l’octroi est étendu à toute la ville et les services de perception de l’impôt déménagent aux portes de la nouvelle ville. Les revenus de l’octroi augmentent de 25 %… Les entreprises et les plus démunis, notamment la classe ouvrière, se réfugient peu à peu derrière les portes de la ville, l’enceinte de Thiers symbolisant alors un seuil à la fois administratif, social et politique.

Le Parisien

Pour marquer son engagement dans la lutte contre le sida, à Paris et dans le monde, la Ville de Paris organise des événements autour du 1er décembre :

• un ruban rouge géant, de 10m de haut, installé sur la façade de l’Hôtel de Ville, sera dévoilé par Bertrand Delanoë le 1er décembre à 11h15 sur le parvis ;

• les illuminations de la Tour Eiffel seront éteintes à 18h30 pendant quelques minutes, en même temps que l’extinction de l’Empire State Building et du pont de Brooklyn à New York, dans le cadre de l’opération menée par l’UNESCO dans différents pays du monde pour appeler l’attention sur l’importance de continuer à lutter contre l’épidémie de VIH ;

• l’opération « café capote » dans 250 cafés parisiens : des préservatifs et des sous-bocks, reprenant le visuel de la campagne « Paris protège l’amour », sont distribués gratuitement dans les établissements volontaires, pour sensibiliser à la lutte contre le sida ;

• une campagne d’affichage « Restons mobilisés ! », réalisée par AIDES, est diffusée sur 880 panneaux municipaux, du 25 novembre au 8 décembre ;

• le 1er décembre à partir de 18h30 : « Jazz au CENTQUATRE ». La Mairie de Paris, la mairie du 19ème et Basiliade (association de prise en charge des personnes les plus démunies face à la maladie du sida) proposent une soirée festive et solidaire. Au programme : exposition des œuvres d’Eddy Wiggins, photographe des coulisses du jazz dans les années 1950 ; dédicace par Gilles Leroy, prix Goncourt, du livre Eddy Wiggins. Le noir et le blanc (Naïve) ; concert du quartet de Marc Thomas… L’entrée est libre ;

• une nouvelle brochure présentant les actions de la Ville de Paris pour la lutte contre le sida en Afrique sera largement diffusée (associations, partenaires, etc.), dès le 1er décembre ;

• une fresque de 40 mètres de long, conçue par l’artiste plasticien Vincent Malléa, sera installée sur le parvis de l’Hôtel de Ville, à partir du 18 décembre, pour célébrer les 25 années de lutte menées par l’association AIDES et ses bénévoles contre le sida.

Un match amical contre toutes les discriminations associant le Paris Foot Gay (PFG) à une équipe de personnalités sera organisé le 14 novembre au stade Charléty (13e). La rencontre survient après la polémique liée au refus du Créteil Bébel de jouer contre le PFG en octobre dernier. Entrée libre à partir de 15h.

C'est un match symbole. Les joueurs du Paris Foot Gay (PFG) affronteront une sélection composée de représentants associatifs, de responsables politiques, d'anciens sportifs de haut niveau ainsi que de personnalités, samedi 14 novembre au stade Charléty (13e). La rencontre amicale, soutenue par la mairie de Paris, est dédiée à la lutte contre toutes les discriminations. Le match est organisé après la polémique, en octobre dernier, liée au refus d'une équipe - le Créteil Bébel - de jouer contre le PFG. La formation de Créteil avait ensuite été exclue de la Commission football loisir pour propos discriminants.

Coup d'envoi à 15h

Samedi, le coup d'envoi sera donné par la marraine du club amateur, Agnès b. L'événement à Charléty sera l'occasion pour les associations participantes de présenter leur travail militant. Parmi elles, Act up, Aides, la Licra, SOS racisme, l'UEJF ou encore Inter GLBT.

Toutes les associations présentes

Mais qui jouera sur la pelouse de Charléty ? Face au PFG, vous retrouverez notamment l'humoriste Jean-François Dereck, l'ancien champion du monde de kickboxing Mohamed Dridi, le Directeur général de France Terre d'Asile Pierre Henry, le comédien Anthony Kavannah ou encore Jean Vuillermoz, adjoint au maire de Paris chargé du sport. Avec, en lever de rideau, un premier match entre les rédactions de France Info et du journal Libération.

Où, quand ?

Samedi 14 novembre, à partir de 15h Entrée libre Stade Charléty (13e) : 99, boulevard Kellermann RER B : Cité universitaire T3 : stade Charléty

Source : Paris.fr

Avis aux amateurs de Scream et de Rec. La Ville lance un concours de films d'horreur sur un fléau venu d'Outre-Manche qui touche de plus en plus de Parisiens, dés le lycée : Le "Binge Drinking". Ca consiste à boire beaucoup d'alcool, en très peu de temps. Parce que les messages de prévention déconnectés de leur réalité touchent peu ou prou les jeunes, la Ville de Paris a choisi de laisser les 15- 25 ans réaliser eux-mêmes des mini-films vidéo, dans un genre qu'ils apprécient, celui de l'horreur. Six seront primés par un jury professionnel, avec des dotations de 250 à 1.500 euros.

La consommation d'alcool chez les jeunes s’est stabilisée depuis 2003. Pas le Binge drinking, qui consiste à ingurgiter une grande quantité d’alcool en un court laps de temps. Le phénomène s'est amplifie en France avec une augmentation de plus de 10 % entre 2005 et 2008, · + 14 % pour les filles + 8 % pour les garçons.

En 2008, près de 20 % des jeunes de 17 ans interrogés ont pratiqué ce type de consommation sévère, qui consiste à boire au moins 5 verres en une seule occasion, au moins 3 fois au cours du mois.

Qu'on parle de murge, cuite, de se déchirer ou de s'exploser, cette tendance à "plus et plus vite" peut avoir des conséquences graves. Sur le moment : provoquer un accident ou en être victime, avoir des rapports sexuels non désirés ou non protégés, devenir violent ou encore risquer un coma éthylique. Dans un second temps : causer des lésions cérébrales, en particulier chez les sujets jeunes, quand il y a répétition d’une pareille consommation excessive.

Rivaliser d'horreur

Face à ces nouveaux comportements, la Ville de Paris lance une campagne de prévention d'un genre différent : « The binge - Trop boire c’est le cauchemar » est concours de mini films inspirés des films d’horreur. L'objectif est de permettre aux jeunes de se sensibiliser les uns les autres par le biais de vidéos, avec un langage et des codes qui leur sont propres et non plus empruntés aux adultes ou aux institutions.

A travers ce concours, les jeunes pourront :

-réfléchir et s’exprimer librement sur leur rapport à l’alcool ; -énumérer les effets négatifs du « binge drinking » avec leurs mots et leurs images ; -associer, mais de façon légère, « binge drinking » et horreur ; -anticiper, à travers leur film, les conséquences cauchemardesques de l’ivresse ; -élaborer eux-mêmes des messages de prévention convaincants.

Concours mode d’emploi

Destiné aux jeunes âgés de 15 à 25 ans habitant, travaillant ou étudiant à Paris, mais aussi aux structures associatives parisiennes, le concours est accessible : sur le site www.thebinge-lefilm.com entre le 10 novembre 2009 et le 8 mars 2010.

Aux jeunes de prendre leur caméra, téléphone portable ou web cam pour réaliser un mini film de 30 secondes à 5 minutes et mettre en garde les autres contre « l’enfer du binge drinking » qui peut transformer une soirée en une nuit de cauchemar (perte de contrôle, comportements dangereux, violences physiques, verbales ou sexuelles, etc.).

Tous les films reçus sont mises en ligne, exceptés ceux jugés : - attentatoire au respect de la dignité des personnes (propos discriminatoire, injurieux, contenu pornographique…) ; - en contradiction avec les lois en vigueur ; - contraire aux bonnes moeurs et/ou à l’ordre public.

Le site qui reçoit les mini films réalisés dans le cadre du concours fera une régulation en amont de toute mise en ligne.L’organisateur se réserve le droit de demander au participant d’envoyer sans délai une autre vidéo et/ou de refuser sa participation au concours pour toutesréalisations jugées contraires aux règles ci-dessus.

6 films seront primés en mars selon plusieurs critères : originalité du scénario, pertinence dumessage de prévention au regard de la cible, qualité de la réalisation et de l’interprétation.

Un jury de professionnels, composé de professionnels du cinéma, d’experts en alcoologie et d’élus, se réunira à l’issue du concours pour désigner les 6 films lauréats ; Les internautes désigneront également « le grand prix du public » (vidéo ayant recueilli le plus de votes). __ Pour les gagnants__

Les 6 lauréats recevront une dotation de 250 à 1500 euros et leur vidéo sera diffusée sur la page d’accueil de MSN France. Une cérémonie de remise des prix avec diffusion des vidéos sur grand écran sera organisée en mars.

Les 6 films lauréats, considérés comme les plus convaincants dans le message de prévention émis seront diffusés:

-Dans le cadre des missions de prévention de la Ville de Paris (notamment dans les antennes jeunesses, foyers de jeunes travailleurs, conseils de la jeunesse, clubs de prévention, etc.) et des partenaires – LMDE, Microsoft et Daily motion ; - A l’occasion d’événements festifs parisiens (festivals, concerts…) ; - Serviront de base de discussion avec les jeunes sur la consommation excessive d’alcool et ses conséquences, notamment par l’équipe mobile d’information et de prévention santé de la Ville de Paris, qui intervient à la demande de groupes, d’associations ou d’autres collectivités sur toutes les formes de dépendances et sur les risques liés à la consommation de substances psychoactives licites ou illicites ; -Bénéficieront, de façon générale à l’ensemble des services de la Ville ou de structures ssociatives à destination des jeunes.

Suivi du concours

Pour faire vivre le concours de novembre 2009 à mars 2010, un dispositif de communication est mis en place avec : - Un site Internet dédié, www.thebinge-lefilm.com, sur lequel les jeunes Parisiens pourront déposer leurs vidéos mais aussi trouver quelques conseils en matière de prévention de l’alcoolisation excessive ; - Des affichettes et cartes postales diffusées dans l’ensemble des équipements municipaux et dans les lieux de vie parisiens (bars, pubs, cinémas, etc…) ; - Une présence sur les sites Internet de sorties fréquentés par les jeunes Parisiens : sortiraparis.com, parisbouge.com, zepeople.com ; - Une page dédiée au concours sur dailymotion et facebook (http://www.facebook.com/pages/The-Binge-le-film/194467480521?ref=nf) ; - Un relais sur la WEBTV de www.lmde.fr ; - lL diffusion du « trailer » sur l’écran géant du Palais Omnisport de Paris Bercy lors de concerts fréquentés par un public jeune ; - La diffusion de la vidéo lauréate sur le portail MSN France.

Les partenaires du concours : - Daily Motion - Microsoft / MSN France - la mutuelle des étudiants (LMDE) - sortiraparis.com - Le Palais Omnisport de Paris Bercy (POPB)

Source : Paris.fr

Le 9 novembre, afin de célébrer les 20 ans de la chute du mur de Berlin, un spectacle son et lumière de 25 minutes aura lieu place de la Concorde à 19h.

Des images, projetées sur les façades de la rue Royale montrant le mur, la porte de Brandebourg, retraceront successivement les heures sombres de la division de l’Europe, puis la libération avec la chute du mur en 1989.

Pour l’événement, Paris allumera ses décorations de Noël avant l'heure. Le spectacle musical, interprété par 27 violoncellistes européens, évoquera le concert improvisé en 1989 devant le Mur de Berlin par le violoncelliste russe Mstislav Rostropovitch.

Les musiciens, accompagnés par des choeurs installés aux balcons des hôtels de la place, joueront des oeuvres de Gabriel Fauré, Jean-Sébastien Bach et Alfred Schnittke.

Source : Paris.fr